Le soleil ne chauffe que ce qu’il voit :
Haley Bassett, Jimmy Beauquesne, Caroline Cloutier, Kris Knight, Christopher Paul Jordan, Simon Petepiece, Carl Trahan, Justin Weiler

Du 10 juillet au 30 août 2025

Pour la saison estivale, Galerie Nicolas Robert Montréal à le plaisir de présenter une exposition collective intitulée Le soleil ne chauffe que ce qu'il voit, du 10 juillet au 30 août 2025.

À travers des approches variées, les artistes invités proposent des visions où la lumière tend à persister malgré l’obscurité. Les oeuvres présentées exploreronts certaines imageries symboliques afin de transmettre un sentiment d’optimisme et d’espérance. Ces imageries se faufileront donc d’oeuvres en oeuvres, parfois comme thème principal, autre fois comme symbole ou support, et elles se présenteront comme porteurs d’espoir.

Haley Bassett (Grandes Prairies) crée des oeuvres qui incorporent des matériaux naturels récoltés et des objets trouvés, et qui s’étendent à travers divers médiums dont la peinture, la sculpture, l’installation, la broderie perlée et les arts textiles. Son travail explore les liens entre soi et terre, l’hybridité et l’identité. 

Jimmy Beauquesne (Paris) utilise le dessin comme un acte nostalgique, mélancolique et récupérateur. Empruntant souvent ses figures à la culture des célébrités, les images de Beauquesne recontextualisent leurs sujets dans un paysage étrange et fantastique, mélangant sacré et figures pop, tout en commentant la place du dessin dans une ère post-internet. 

Caroline Cloutier (Montréal) élabore des œuvres abstraites qui traduisent la nature vibratoire de l’existence en jouant avec la couleur, le pigment et le mouvement. Inspirée par la géométrie sacrée et les structures fondamentales du vivant, elle cherche à révéler des motifs imperceptibles, des arrangements atomiques aux trajectoires célestes.

Kris Knight (Toronto) peint des portraits romantiques présentant des mondes émotionnels : des portails du passé et du présent, qui se retirent de la démesure du monde autant qu'ils la reflètent.

Christopher Paul Jordan (Washington) réalise ses oeuvres comme des capsules temporelles pour préserver, enfouir et relier, interrogeant la survie de la mémoire, les récits diasporiques et les infrastructures du savoir, du soin et de la communication à travers la distance.

Simon Petepiece (Montréal) crée des oeuvres à partir de matériaux et processus de construction qui invite le spectateur à penser aux significations culturelles et à la qualité émotive de produits industriels. Son travail interroge la façon dont notre société conçoit et construit l’espace, ainsi que son rapport aux environnements qu’elle habite au quotidien.

Carl Trahan (Montréal) développe un travail multidisciplinaire qui réfère à des moments charnières de l'histoire occidentale et à des concepts philosophiques s'y rapportant, auxquels il trouve des échos dans le contemporain.

Justin Weiler (Paris), À travers des succession de couches monochromatiques,   écrit sa peinture avec la lumière pour aboutir à une image en révélant les différents niveaux de noirs. C’est à travers son exploration de contrastes et de supperpositions qu’il traite la lumière, qu’il considère indissociable de l’ombre.